Fin de mi-juillet 2025

Journal hebdomadaire de la nature autour, promenade, branche dessus, branche dessous, avec le grand dehors

Orages et averses d’été, de ces pluies qu’on attend pour rafraichir le soir et parce qu’elles sont logiques dans le cycle des jours et puis celui de l’eau. Traits, points, toujours clairs et brillants sur le fond sombre des arbres, le langage des coulées, des mots à déchiffrer dans une autre écriture, celle des petites gouttes rondes et puis des gouttes longues, le morse de la pluie. Une autre façon de dire, de parler des nuages, elles disent d’où elles viennent, disent la terre où elles tombent et ce qu’elles y feront, juste flaque ou ruisseau jusqu’à rejoindre la mer, un futur d’aventures.
Les arbres et autres plantes à quelques exceptions près sont maintenant plus tranquilles, le temps n’est plus aux fleurs, aux feuilles à construire, juste à consolider tout ce que le printemps à fait naitre de nouveau, elles sont plutôt croissance que fleurs ou bien naissance. Presque le temps de lézarder dans le beau temps d’été. Les fruits sont bien en place, les papilles se préparent au fur et à mesure que grossissent les pommes.
Il reste quand même des plantes pour grandir coûte que coûte sans prendre aucun repos, qui renaissent de plus belle quand une débroussailleuse les réduits à néant au niveau des racines, les fougères et les ronces sont de ces sortes de plantes pourvu que l’eau soit là, au moins l’humidité. Les mousses bien sûr aussi, qui se replient pour le chaud et se déploient en grand quand l’eau est de nouveau là.
Question adaptation, les plantes savent faire pourvu qu’on les laisse faire, les animaux aussi, chacun son petit royaume, son moment de la journée, quand il s’agit de voir la journée de 24 heures, avec la nuit aussi. Alors que nous humains sommes bien moins adaptés à vivre dans le noir surtout que maintenant, pleine lune ou noir complet, on allume la lumière pour que nos yeux puissent rester notre atout principal pour connaitre le monde qui est autour de nous. Alors, en profiter pour quand même ça et là, lever les yeux au ciel et éteindre les lampes pour pouvoir profiter des étoiles, de la lune et puis de toutes les ombres qui font beaucoup moins peur quand on fait un effort pour mieux faire connaissance.

N’ayez pas peur !

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